De nombreuses vérités universelles ont émergé autour de la grossesse grâce au bouche à oreille. Certaines d’entre elles sont factuelles, mais il existe une énorme liste de mythes qui sont fabriqués, ou faux, comme leur nom l’indique. L’un d’eux est que l’autobronzant est interdit pendant la grossesse.
De nombreuses personnes se demandent si elles peuvent utiliser ce type de produit cosmétique lorsqu’elles sont enceintes pour la première fois, surtout si c’est pendant l’été. L’hésitation et la crainte proviennent de deux facteurs : il existe des crèmes formulées à des fins très différentes de celles des produits autobronzants, et leur composition les rend inadaptées aux femmes enceintes ; et, dans le passé, tous ces produits (y compris les colorants) avaient des compositions plus agressives et n’étaient pas toujours testés de manière pratique.
La vérité est que ce n’est plus le cas. Les cosmétiques sont soumis à plusieurs contrôles de qualité et de sécurité, et il n’existe aucune preuve scientifique que les produits autobronzants, en particulier, représentent un danger pour la santé d’une femme enceinte. C’est ce qu’expliquent tous les professionnels de la santé, qui disent tous la même chose à ce sujet : les crèmes autobronzantes peuvent être utilisées sans danger pendant la grossesse.
Le secret réside dans la composition
=> Pour voir les meilleures cosmétiques pendant la grossesse, c’est par ici !
Bien sûr, il existe des situations où elles ne sont pas suggérées pour différentes raisons, mais ce n’est pas la règle. La raison en est que leur composition n’est pas agressive. Certes, ils comprennent pratiquement tous du dihydroxyacétone, un dérivé incolore de la canne à sucre qui assombrit la surface de la peau lorsqu’il entre en contact avec les protéines cutanées. Quand on ne sait pas ce que c’est, son nom peut être alarmant, mais comme il n’y a pas d’absorption – la substance ne pénètre pas dans les couches internes de la peau – le risque d’allergie est extrêmement minime, tout comme le risque qu’elle atteigne la circulation sanguine et nuise ainsi au bébé.
La FDA (Food and Drug Administration) américaine l’a inscrit sur sa liste d’articles appropriés à l’usage cosmétique il y a plus d’un demi-siècle, en 1973. Cependant, étant donné que la dihydroxyacétone « ne doit pas être ingérée ou administrée aux endroits couverts par des muqueuses, y compris les lèvres, le nez ou les zones autour des yeux, car les dangers de cette pratique ne sont pas clairs », les produits autobronzants doivent être évités sur ces parties spécifiques du corps.
Toutefois, comme nous l’avons déjà dit, ces produits ne stimulent pas le système de bronzage naturel du corps, mais provoquent plutôt une réaction en raison de leur composition, qui colore la couche la plus superficielle de la peau. En d’autres termes, ils ne font que tacher la première couche de la peau et ne favorisent pas la mélanine, qui est responsable du bronzage naturel. C’est pourquoi de nombreux experts les prescrivent, notamment aux femmes enceintes qui souhaitent bronzer, car l’exposition directe au soleil est extrêmement dangereuse pendant la grossesse, encore plus que dans des conditions normales.
Dans tous les cas, il est toujours bon de vérifier les étiquettes d’un produit cosmétique avant de l’utiliser pendant la grossesse, et si vous n’êtes pas sûre, jetez-le. Si vous n’êtes pas sûre, jetez-le. Le risque n’en vaut pas la peine, d’autant plus que de plus en plus d’entreprises indiquent clairement si leurs produits peuvent être utilisés sans danger pendant la grossesse. C’est le cas, par exemple, de Freshly Cosmetics, dont les produits sont acceptables pour les femmes enceintes (à l’exception d’une brosse à dents à forte teneur en caféine), selon son site web.
=> En combien de temps part l’autobronzant ? La réponse dans cet article !
Valentine
Magicienne des astuces Beauté !